DES-RIVES 

Sandrine Damour à été co-fondatrice et co présidente de la structure  de recherche en architecture & urbanisme Largescalestudios basée à Carouge dans laquelle elle initie le projet DES-RIVES.

Dans ce cadre, elle a participé au workshop Empower Shack organisé par ETH de Zurich sur un protoype de logement pour un quartier informel de Cape Town en Afrique du Sud. Elle intervient au Breaking Ground workshop de la quinzaine de l'ubanisme à Genève dont l'objectif est la reflection sur les stratégies de densification et dévelloppement de la zone villa de Mail sud à Genvève.

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Aujourd'hui, elle dirige le bureau DAMOUR CREATION à Carouge, spécialisé en rénovation/transformation du bâtiment Strategie Urbaine durable.

Prônant l'application de certains principes issus de ses recherches, elle agit en vue de l'évolution des villes vers le développement durable.

Son travail prospectif s'inscrit dans la démarche du projet Genève 2050 avec des applications à court terme.

Etudes et plans d'actions visant l'évolution :

- des principes directeurs 

- des principes de conception du milieu bati

- des normes de construction

- politiques publiques pour l'innovation visant la résilience 

Le bureau propose également des outils et méthodes de co-construction pour l'Urbanisme durable, finaliste de plusieurs concours. 

 

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​Précédemment, elle a travaillé au sein d'un bureau d'architecture genevois 

collaborant à divers projets à Genève et à l’international. Parmi ces projets, la requalification d’un quartier aux Eaux-vives en lien avec la mise en place du CEVA , des travaux de recherches sur des espaces modulables et écologiques en carton pour la multinationale Tetra Pak Brésil ou encore la conception des boutiques de joaillerie Shawish à Dubai.

Intéressée par la richesse des expériences à l’étranger, elle collabore en 2010 avec 2 agences spécialisées en hôtellerie de Luxe, RPW design à Londres sur l’hôtel Aloft à Abu Dhabi et SM design à Paris sur l’hôtel Hyatt au Maroc.

En 2009, dans l’atelier de Michael Joannidis à Montréal, elle fut primée pour un concours lancé par l’université de Montréal pour la requalification d’une zone piétonne souterraine au sein de l’université.

Préalablement à ses études d’architecture, elle obtient un diplôme de commerce à Belfort, couvrant l’étude de l’ensemble des techniques de commercialisation.